Entre les doigts d’un artiste bordelais, la musique devient matière. Avec « Troisième rêverie », extrait de son dernier album « Rêveries », Nicolas Pérez nous emmène là où l’art s’écoute autant qu’il se contemple. Sa composition, à la fois éthérée et minutieuse, fusionne les textures avec la délicatesse d’un geste de sculpteur. On y entend le silence entre deux pensées, la lumière qui glisse sur une idée encore floue. Le clip, lui, envoûte : des mains modèlent des formes, des visages apparaissent,chaque plan est une œuvre d’art vivante. On ne sait plus si l’on rêve ou si l’on médite, mais une chose est sûre : Nicolas Pérez a le don rare de suspendre le temps comme on suspend son souffle. Une expérience sensorielle et poétique portée haut par MP4 France.
Nicolas Pérez : 30 ans de voyages intérieurs en musique
Avec « Rêveries », Nicolas Pérez livre un album-concept inspiré des Rêveries du promeneur solitaire de Rousseau, où chaque morceau devient une escale onirique. Sorti le 31 mars sur toutes les plateformes, ce projet marque un nouveau sommet dans la carrière foisonnante de ce compositeur inclassable. Depuis ses débuts autodidactes jusqu’à ses collaborations théâtrales et ses hommages à l’Histoire ou à la philosophie, l’artiste trace un chemin singulier, mêlant érudition et émotion. De « Psyché » à « OVNIS », en passant par « Sainteté » et « Médium », il tisse une œuvre colossale, influencée par Mike Oldfield, Jean-Sébastien Bach ou encore Enigma. Avec « Rêveries », Nicolas Pérez confirme qu’il est bien plus qu’un musicien : un sculpteur de songes. 2025 vient à peine de commencer, gardez un œil sur Nicolas Pérez…
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