Derrière le titre suave « NDUMBA KITOKO », on s’attendait à un slow langoureux, un trip love sur coussin de velours. Mais ABM, lui, préfère vous surprendre. Dès les premières secondes, la voix cristalline de Aisha Dayo, samplée depuis une ballade japonaise old school, vous berce tendrement. Et puis, sans prévenir, la trap surgit, nerveuse, tranchante. Le contraste est saisissant : « La liberté c’est choisir sa prison / Pour atteindre les objectifs il n’y a pas de piston », balance-t-il avec un flow aiguisé, entre introspection et égo-trip contrôlé. Le clip, tourné façon souvenirs intimes sur téléphone, ajoute une couche d’étrangeté et de beauté au morceau, comme un carnet de voyage. ABM crée ici un univers hybride, entre sensualité floutée et tensions urbaines, où la punchline devient poésie. MP4 France vous l’annonce : ce n’est pas juste un morceau, c’est une vision.
ABM : musclé dans les textes comme à la salle
ABM n’est pas du genre à faire les choses à moitié. Artiste, coach sportif et modèle à ses heures (oui, ce corps n’est pas une légende), il cultive une esthétique taillée au scalpel : visuelle, sonore et physique.Sur les réseaux, ses abonnés se régalent entre morceaux inédits et routines de muscu bien huilées – c’est du deux-en-un, et ça motive autant que ça inspire.
Côté sons, il s’est déjà illustré avec des titres comme « Abm Serge An », « Flash Spécial » ou « Distortion », entre noirceur urbaine, rythmiques percutantes et lyrisme assumé. À chaque morceau, ABM explore un angle différent de sa personnalité, mêlant profondeur des textes et énergie brute, avec une capacité rare à transformer ses émotions en récits sonores. Son écriture, à la fois technique et imagée, laisse transparaître une vraie maîtrise de la rime, capable de faire vibrer autant le cœur que les enceintes.
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