Impossible de rester statique quand KINOIS balance « Paniquer ». Le morceau, fraîchement tiré de son projet « MOKILI », pulse comme une invitation à se redresser et avancer. Sur une rythmique afrobeat éclatante, la voix claire de l’artiste s’impose avec naturel et vient s’ancrer dans l’esprit. « Fais moi confiance, il ne faut pas m’arrêter », clame-t-il, comme une promesse adressée autant à lui-même qu’à ceux qui l’écoutent.Le clip, filmé au Cap Vert, capture l’énergie de ses pas et l’atmosphère lumineuse des rues. À l’écran, son charisme se déploie sans artifice, en parfaite harmonie avec la vitalité du morceau. Résultat : une chanson qui agit comme une dose de confiance immédiate, à écouter dès le réveil pour lancer la journée du bon pied. MP4 France en fait le relais, soulignant la force d’un artiste qui choisit de parler au corps autant qu’à l’esprit.
KINOIS lève le voile sur « MOKILI » et son univers personnel
Derrière le nom de scène, il y a Kevin, artiste franco-congolais qui refuse de se laisser enfermer dans des catégories toutes faites. Déterminé à tracer sa route sans compromis, il s’appuie sur un flow solide et des textes sans détour. Avec « MOKILI », il affirme une identité artistique qui ne cherche pas la tendance, mais la trace durable. Plus qu’un simple projet, c’est une déclaration : KINOIS n’est pas là pour passer, il est là pour marquer.
Le 5 septembre 2025 marque la sortie de « MOKILI », un projet de huit titres où KINOIS ouvre les portes de son monde intérieur. En lingala, Mokili signifie « le monde », un choix qui reflète son intention : livrer un panorama sincère de son parcours et de ses convictions. L’album, à la fois urbain et mélodique, mélange intensité, émotions brutes et refrains accrocheurs. Chaque piste apparaît comme une pièce d’un puzzle intime, façonné par ses expériences.
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